Classification
Embranchement | Vertébré |
Classe | Mammifère |
Super-ordre | Ongulé |
Ordre | Artiodactyle |
Famille | Bovidé |
Sous-famille | Capriné |
Genre | Rupicapra (Linné, 1758) |
Espèce | rupicapra |
Sous-espèce | rupicapra |
Morphologie
La morphologie générale du chamois est proche de celle de la chèvre.
Taille et poids
A l’âge adulte, les chamois mesurent en moyenne 80 cm de hauteur au garrot, et 130 cm de longueur du museau à la queue. Leur poids varie entre 35 et 50 kg chez le mâle, contre 25 à 38 kg chez la femelle. Le poids est maximal en automne, avec l’accumulation de réserves durant l’été, alors qu’il peut diminuer de moitié à la fin de l’hiver lorsque les réserves sont épuisées.
(http://www.larousse.fr/encyclopedie/image/Chamois/1309577)
A l’âge adulte, les chamois mesurent en moyenne 80 cm de hauteur au garrot, et 130 cm de longueur du museau à la queue. Leur poids varie entre 35 et 50 kg chez le mâle, contre 25 à 38 kg chez la femelle. Le poids est maximal en automne, avec l’accumulation de réserves durant l’été, alors qu’il peut diminuer de moitié à la fin de l’hiver lorsque les réserves sont épuisées.
(http://www.larousse.fr/encyclopedie/image/Chamois/1309577)
Cornes
Les chamois ont des petites cornes noir foncées d’environ qu’ils
conservent en permanence jusqu’à la fin de leur vie. Elles poussent dès
la naissance, d’abord verticalement puis elles s’infléchissent vers
l’arrière pour former un crochet. A l’âge adulte, elles mesurent environ
15 cm. Sur l’étui corné, on trouve plusieurs types de reliefs, dont les
« anneaux d’âges » qui sont dus à un arrêt hivernal de la croissance
des cornes, et permettent donc de déterminer l’âge d’un animal captif ou
mort.
Couleur
La tête du chamois est bicolore. En effet, le front et les joues blancs
sont séparés par une bande noire, qui part des oreilles et descend
jusqu'au museau.
Les chamois muent deux fois par an : à l’automne (août-septembre), et
au printemps (avril-mai). Son pelage d’été est assez clair, brun-beige
avec une raie dorsale brun foncé. En hiver, il est brun-noir, plus
foncé pour capter les rayons du soleil, plus épais et plus long pour
former une couche laineuse protégeant l’animal contre le froid.
A partir d’une douzaine d’année, les taches claires de la tête
s’élargissent, les bandes jugales s’estompent et le pelage devient de
plus en plus gris.
Différences mâle/femelle
La différenciation entre les mâles et les femelles est assez difficile.
La femelle est généralement plus fine et plus gracieuse que le mâle, sa
tête est plus allongée, ses cornes sont moins épaisses et moins
recourbées. Le mâle porte une crinière dorsale plus importante, appelée
la « barbe », qui mesure en moyenne 6 cm à l’été, mais peut mesurer
jusqu’à 30 cm en période de rut. (http://www.ceillac.com/chamois.htm)
Membres
Les postérieurs étant plus allongés que les antérieurs, le chamois est
un animal adapté pour sauter. De plus, il a souvent une position demi
fléchie, ce qui lui offre une grande détente et une puissance
remarquable.
Le
sabot possède également une structure spécifique, permettant au chamois
de se déplacer facilement en terrain accidenté. En effet, le pied du
chamois est constitué de deux doigts latéraux pouvant s’écarter pour
bien adhérer aux rochers, servant ainsi de pince. Ils sont également
reliés entre eux par une membrane élastique et résistante, qui sert de
raquette en évitant à l’animal de trop s’enfoncer dans la neige. (http://alpesoiseaux.free.fr/animaux/chamois_rupicapra/chamois.htm)
Physiologie
Le cœur d’un chamois est très volumineux et permet ainsi de compenser
la diminution de la quantité d’oxygène disponible, liée à la vie en
altitude. Il assure un débit deux fois plus important que chez l’homme,
et ses fibres nerveuses sont capables de soutenir un effort violent. De
plus, le transport de l’oxygène est favorisé par les très nombreux
globules rouges ainsi que par les poumons très développés.
Les sens :
Vue.
Le chamois voit mal les objets immobiles même à courte distance, en
revanche il est capable de distinguer des mouvements lointains et dans
la pénombre. Il a un champ visuel très large.
Ouïe. Ils sont sensibles aux bruits insolites, mais si fient rarement à leur ouïe pour repérer les dangers.
Odorat.
Il s’agit du sens le plus développé chez les chamois, il leur permet
par exemple de sentir la présence d’intrus à plus de 500 mètres.
Habitat et répartition géographique actuelle
Répartition géographique mondiale. L’aire
de répartition du genre Rupicapra est limitée aux massifs montagneux
européens occidentaux, centraux et d’Asie mineure. Les chamois
s’observent également en Nouvelle-Zélande et en Argentine, où ils ont
été introduits.
Répartition géographique française. En
France, le chamois peuple naturellement les Alpes, le Jura et les
Pyrénées. Il a aussi été introduit localement dans les Vosges (1956) et
le Cantal (1978).
Répartition géographique française du chamois en 2005.
Source : données issues du réseau ongulés sauvages ONCFS-FNC-FDC
Habitat
Le
chamois vit généralement dans un milieu montagneux. Suivant la saison,
il vit entre 800 et 3000 m d'altitude, son domaine vital étant limité
vers le haut par la disparition des pelouses alpines, et vers le bas par
les constructions humaines.
La présence de reliefs et d’escarpements rocheux conditionne
l’installation des chamois. Ils sont en effet parfaitement adaptés à la
vie en terrain accidenté, et assurent leur sécurité dans la rapidité de
leur fuite et leur agilité sur les rochers.
Le climat n’est pas un facteur déterminant l’établissement des chamois
dans une région puisqu’ils peuvent vivre sous une grande diversité de
climats, avec des moyennes de températures hivernales de -10°C et des
maximums estivaux de 25°C. Par contre, ils vont préférer les zones
relativement ombragées telles que les ubacs, pour limiter les pertes
d'eau.
Tous les habitats accueillant des chamois comprennent au moins une zone
forestière, dans laquelle ils pourront se réfugier en hiver. D’une
part, le couvert dense de la forêt limite les accumulations de neige au
sol, et d’autre part, les chamois peuvent s’alimenter du bois des
conifères lorsque les plantes herbacées sont enfouies dans la neige.
Alimentation
Nourriture
Les chamois sont herbivores. Leur régime alimentaire est constitué en moyenne de 50% d’herbacées, 35% de ligneux, 10% de semi-ligneux et 5% de fruits forestiers. Cependant, il varie fortement en fonction des saisons, des sites et de la disponibilité des ressources.
Les chamois sont herbivores. Leur régime alimentaire est constitué en moyenne de 50% d’herbacées, 35% de ligneux, 10% de semi-ligneux et 5% de fruits forestiers. Cependant, il varie fortement en fonction des saisons, des sites et de la disponibilité des ressources.
En été, les chamois se nourrissent principalement des légumineuses, tel
que le trèfle des Alpes, et des inflorescences de Dicotylédones, telles
que iris, jonquilles ou gentiane. Au début de l’hiver, ils grattent la
neige pour se libérer quelques herbes, genévriers, houx, lierre ou
éventuellement rhododendrons. Puis lorsque la couverture neigeuse
devient plus importante, les chamois se mettent à consommer les espèces
arbustives et ligneuses, ils mangent alors les bourgeons, les rameaux,
les écorces de feuillus et de conifères, ainsi que des mousses et des
lichens.
Comme tous les ruminants, les chamois sont friands de sel, surtout au
printemps pour pallier une carence en sels minéraux suite à l’hiver. Ils
le trouvent dans des salines naturelles, à la surface de certaines
roches, et profitent également des pierres à sel des bergers.
Eau
Les chamois ne s’abreuvent presque jamais. En revanche, ils ingèrent l’eau contenue en grande quantité dans les plantes ou présente à la surface des feuilles sous forme de rosée.
Les chamois ne s’abreuvent presque jamais. En revanche, ils ingèrent l’eau contenue en grande quantité dans les plantes ou présente à la surface des feuilles sous forme de rosée.
Dentition
La dentition est définitive à partir de 4 ans. Elle comprend 32 dents, réparties en 8 incisives, 12 prémolaires et 12 molaires. La croissance des dents est continue.
La dentition est définitive à partir de 4 ans. Elle comprend 32 dents, réparties en 8 incisives, 12 prémolaires et 12 molaires. La croissance des dents est continue.
Éléments comportementaux
Déplacements
La physionomie des chamois est adaptée aux déplacements en milieu escarpés. Ils sont très agiles, et se déplacent généralement par bonds. Les chamois sont capables de gravir 1000m de dénivelé en 15mn, et certains peuvent atteindre une vitesse maximale de 40 km/h pour fuir un danger.
La physionomie des chamois est adaptée aux déplacements en milieu escarpés. Ils sont très agiles, et se déplacent généralement par bonds. Les chamois sont capables de gravir 1000m de dénivelé en 15mn, et certains peuvent atteindre une vitesse maximale de 40 km/h pour fuir un danger.
Le saut du Chamois, Fabien Gréban.
Rythme d’activité journalier
Les chamois sont considérés comme des animaux diurnes, mais ils peuvent également être actifs la nuit. Ils consacrent 40 à 60% de leur journée à s’alimenter, 20 à 28% à se reposer et ruminer et 13 à 18% à se déplacer, surveiller les environs ou entretenir les relations sociales.
Les chamois sont considérés comme des animaux diurnes, mais ils peuvent également être actifs la nuit. Ils consacrent 40 à 60% de leur journée à s’alimenter, 20 à 28% à se reposer et ruminer et 13 à 18% à se déplacer, surveiller les environs ou entretenir les relations sociales.
Cycle de vie au cours des saisons
Les activités journalières des chamois évoluent au cours des saisons.
Au printemps, les chamois passent plus de temps à se nourrir, pour
compenser l’amaigrissement lié à la période hivernale. Ils se déplacent
aussi beaucoup, pour quitter la forêt et remonter le long des versants
en quête de nourriture. C’est à cette époque que la mue printanière a
lieu.
A l’été, les phases de repos augmentent. La mise bas à lieu fin
mai-début juin. Les chamois profitent aussi de l’abondance de nourriture
pour reconstituer des réserves de graisse leur permettant de passer
l’hiver.
L’automne débute avec leur seconde mue. Il s’agit de la période de rut,
durant laquelle les mâles passent beaucoup de temps dans les relations
sociales et l’observation, au détriment de l’alimentation.
Enfin, en hiver, les chamois peuvent consacrer leurs journées entières à
la recherche de nourriture. C’est à cette époque que la mortalité est
maximale.
La vie en harde
Les chamois vivent en hardes, formées essentiellement de femelles et de
jeunes. Les mâles adultes sont généralement solitaires. La harde est
constituée de quelques individus à une centaine d’individus. Il n’y a
pas de hiérarchie dans le groupe, par contre c’est une vieille femelle
stérile, appelée bréhaigne, qui guide le troupeau dans les passages
délicats.
Harde de chamois.
Communication
Le cri d’alarme du chamois ressemble à des sifflements aigus, appelés
chevrotements. Cependant, les chamois communiquent surtout par leurs
attitudes (ébrouement, intimidation latérale, posture de soumission,
poursuites,…), très manifestes en période de rut.
Domaine vital
Le domaine vital annuel du chamois s’étend sur quelques dizaines à quelques centaines d’hectares, mais il varie en fonction du sexe et des saisons.
Le domaine vital annuel du chamois s’étend sur quelques dizaines à quelques centaines d’hectares, mais il varie en fonction du sexe et des saisons.
Les femelles ont un grand domaine vital (entre 50 et 500 ha), mais
elles sont plutôt sédentaires. En revanche, les mâles sont beaucoup plus
nomades, ils utilisent successivement plusieurs petits domaines (entre
20 et 100 ha), et ont généralement des domaines d’été et des domaines
d’hiver éloignés.
Les densités de population sont de l’ordre de 5 à 10 individus par 100 hectares.
Reproduction
Vocabulaire
Le mâle : bouc.
La femelle : chèvre.
Le
petit : chevreau. On l’appelle cabri le chevreau âgé de 0-1 an, puis
éterlou le chevreau mâle âgé de 1-2 ans qui vit encore avec sa mère, ou
éterle pour les femelles.
Rut (= période des amours).
Le rut a lieu aux mois de novembre et décembre. Il serait déclenché par le raccourcissement de la durée du jour, qui provoquerait alors une stimulation hormonale.
Le rut a lieu aux mois de novembre et décembre. Il serait déclenché par le raccourcissement de la durée du jour, qui provoquerait alors une stimulation hormonale.
Durant cette période, les boucs marquent leur territoire en frottant
leurs cornes contre les arbres, les buissons et les rochers. En effet,
les chamois possèdent des glandes rétrocornales à la base des cornes,
qui grossissent et sécrètent une odeur très forte chez les mâles au
moment du rut. Cette odeur permet d’exciter les femelles et prévenir les
autres mâles de sa présence. A cette période, les boucs deviennent
aussi beaucoup plus agressifs. Ils impressionnent les plus jeunes pour
les faire fuir, et n’hésitent pas à se battre avec leurs semblables en
donnant des coups de cornes ou en se poussant dans le vide.
Les mâles sont polygames, et il arrive aussi que plusieurs mâles accouplent la même femelle.
Gestation et mise bas
La gestation dure environ 170 jours, ce qui équivaut à 24 semaines environ.
La gestation dure environ 170 jours, ce qui équivaut à 24 semaines environ.
La plupart des naissances ont lieu entre mi-mai et mi-juin. A cette
époque, la femelle se sépare de son chevreau de l’année précédente puis
quitte la harde pour aller s’isoler dans d’étroites falaises difficiles
d’accès. Elle met alors au monde un unique chevreau, les jumeaux sont
très rares.
Croissance
Une semaine après sa naissance, le chevreau rejoint la harde et pourra
ainsi jouer avec les autres petits. A cet âge, il commence à brouter
l’herbe tendre, mais est surtout nourrit par le lait de sa mère, ce qui
lui permet de prendre une centaine de grammes par jour. Après 20 jours,
des petites bosses annoncent l’arrivée des cornes, qui ne pointeront
réellement que quelques mois plus tard. A partir de trois mois, sa mère
refusera de l’allaiter mais elle continuera à l’élever jusqu’à l’âge d’1
an. La maturité sexuelle est obtenue vers 18 mois, mais les chamois ne
se reproduisent en général qu’à 3 ou 4 ans.
Pour évaluer l’âge d’un chamois, on peut utiliser la hauteur des
cornes. En effet, elles commencent à pointer vers 4 mois, elles
atteignent la moitié de la hauteur des oreilles à 2 ans, elles sont de
la même taille que les oreilles à 3 ans, et elles dépassent ensuite la
hauteur des oreilles. On peut aussi connaître l’âge de l’animal en
comptant les sillons annuels de croissance sur l’étui corné. Cependant,
la croissance du corps et des cornes étant presque nulle à partir de 4
ans, l’âge des adultes est plutôt déterminé à partir de la couleur du
pelage. A mesure que le chamois vieillit, leur pelage devient gris, les
tâches blanches de la tête s’élargissent et les bandes jugales
s’estompent. Enfin, on peut évaluer l’âge d’un chamois en comptant le
nombre d’incisives et de molaires, mais cette technique est surtout
utilisée pour les animaux morts.
Longévité et menaces potentielles
Longévité
La durée de vie du chamois est de 15 à 16 ans en liberté, mais il peut
vivre jusqu’à 22 ans en captivité. Les femelles ont une plus grande
espérance de vie que les mâles, cette fragilité pourrait s’expliquer par
la dépense énergétique importante liée au rut.
Le taux de mortalité est de 40 à 50% pour les chevreaux de moins d’1
an, 20 à 35% pour les chevreaux entre 1 et 2 ans, inférieur à 10% pour
les chamois adultes entre 3 et 8 ans, et le taux de mortalité augmente
après 8-9 ans.
Les causes de mortalité
L’hiver constitue la principale cause de mortalité des chamois. En
effet, la couverture neigeuse cache l’herbe et provoque des avalanches.
Beaucoup de jeunes ne survivent pas à leur premier hiver, et au total on
compte 20% à 40% de pertes suivant l’importance et la durée de
l’enneigement.
La
prédation par les grands mammifères carnivores (renard roux, loup,
lynx, ours brun, homme) et les rapaces (aigle royal, gypaète barbu,
vautour fauve, grand corbeau) aurait un impact sur la mortalité plus
faible que le climat. Mis à part l’homme, les autres prédateurs
attaquent surtout les chamois affaiblis, malades, handicapés ou les plus
jeunes.
Couverture du Chasseur Français des années 50 représentant un aigle doré chassant un jeune chamois sur une vire.
Les chamois peuvent contracter de nombreuses maladies (virales,
bactériennes, ou parasitaires), être victimes de tumeurs, de
malformations ou d’intoxications. Ils sont souvent affectés par des
ectoparasites comme les poux ou les tiques, ou par des endoparasites
comme les strongles, les nématodes ou les douves. Les maladies
parasitaires sont rarement mortelles, mais peuvent affaiblir l’individu
et ainsi le rendre plus sensible aux maladies. Les maladies virales ou
bactériennes sont beaucoup moins fréquentes mais certaines, très
contagieuses, peuvent dégénérer en violentes épizooties. C’est le cas de
la gale sarcoptique ou de la kératoconjonctivite.
Les chamois peuvent aussi être blessés, voir tués, en chutant des
hauteurs, au cours d’un combat, en entrant en collision avec des
véhicules, à cause des chutes de pierres, ou encore en recevant une
balle mal ajustée.
Statut juridique
Le chamois est un gibier dont la chasse est autorisée (arrêté
ministériel du 26 juin 1987 modifié par celui du 15 février 1995).
Chamois
- Evolution des attributions et réalisation par saison de chasse pour
le chamois. Source : Réseau Ongulés sauvages ONCFS/FNC/FDC
La chasse abusive et le braconnage incontrôlé ont fortement menacé le
chamois jusque dans les années 1960, où les densités de population
étaient très faibles. Aujourd'hui, la création de réserves de chasse, de
réserves naturelles, de parcs nationaux et la mise en place de plans de
chasse permettent au chamois de prospérer à nouveau.
Bibliographie utilisée :
http://fr.wikipedia.org/wiki/Chamois
http://www.oncfs.gouv.fr/Connaitre-les-especes-ru73/Le-Chamois-et-lIsard-ar643
http://www.pratique.fr/aigle-royal-aquila-chrysaetos.html
http://www.oncfs.gouv.fr/Connaitre-les-especes-ru73/Le-Chamois-et-lIsard-ar643
http://xx-love-animals-xx.skyrock.com/3047545763-CHAMOIS.html
http://lepaysdh.perso.neuf.fr/fauneetfloregrandparadis.htmhttp://www.oncfs.gouv.fr/Connaitre-les-especes-ru73/Le-Chamois-et-lIsard-ar643
http://www.pratique.fr/aigle-royal-aquila-chrysaetos.html
http://www.oncfs.gouv.fr/Connaitre-les-especes-ru73/Le-Chamois-et-lIsard-ar643
http://xx-love-animals-xx.skyrock.com/3047545763-CHAMOIS.html
http://www.linternaute.com/nature-animaux/animaux-sauvages/photo/la-nature-se-reveille/le-saut-du-chamois.shtml
http://alpesoiseaux.free.fr/animaux/chamois_rupicapra/chamois.htm
http://www.ceillac.com/chamois.htm
Catusse
M., Corti R., Cugnasse J-M, Dubray D., Gibert P. et Michallet J.,
1996, La grande faune de montagne, ONC, Editions Hatier, 260 p.